EE dit qu’il mettra à niveau son réseau 4G dans plus de 2 000 sites d’ici juin 2024 dans le cadre de son engagement envers le réseau rural partagé (SRN).
SRN est une initiative du gouvernement et de l’industrie visant à améliorer la couverture rurale à travers le Royaume-Uni. Un accord a été conclu l’année dernière entre le gouvernement et les quatre principaux opérateurs du pays – EE, O2, Three et Vodafone – pour construire de nouveaux sites et partager les infrastructures dans les zones du pays qui n’ont pas accès aux quatre réseaux.
Les opérateurs investiront 530 millions de livres sterling pour ouvrir et partager leur infrastructure et se payer mutuellement des frais d’accès.
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Réseau rural partagé 4G
Pendant ce temps, le gouvernement a promis de fournir jusqu’à 500 millions de livres sterling pour construire de nouveaux pylônes dans des « pas au total » où il n’y a aucune couverture 4G d’aucun opérateur. L’objectif est d’atteindre 95% de la masse continentale du Royaume-Uni d’ici 2025.
EE déclare avoir déjà mis à niveau 853 sites depuis la conclusion de l’accord et mettra chaque site inclus dans cette dernière phase du programme à la disposition d’autres opérateurs afin qu’ils puissent étendre la couverture de leur réseau.
« Aujourd’hui, nous avons renouvelé notre engagement à renforcer la connectivité rurale, en aidant à améliorer les performances mobiles, quel que soit l’emplacement », a déclaré le PDG de BT, Philip Jansen. « L’investissement que BT a réalisé dans les zones rurales signifie que nous avons l’infrastructure en place pour étendre encore plus notre couverture 4G, en minimisant le nombre de nouveaux sites que nous devons construire pour garantir que tout le monde a accès à une connectivité fiable.
« EE est toujours le seul fournisseur de couverture 4G dans de nombreux endroits du Royaume-Uni, et nous encourageons les autres opérateurs à reconnaître l’opportunité de partager nos offres de sites pour combler les lacunes de leurs réseaux. »
Les engagements du SRN sont soumis au contrôle de l’Ofcom, qui aura le pouvoir d’infliger des amendes pouvant aller jusqu’à 10 % du chiffre d’affaires brut d’un opérateur s’il n’atteint pas ses objectifs.